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L'Etat, ou l'irresponsabilité de ceux qui en sont en charge (le 29 juillet 2024)

  • Le 29/07/2024

La rente-pont, sur laquelle je vais devoir dorénavant m'appuyer pour vivre, est une réussite du système social suisse. En effet, avec les CHF 877 francs auxquels j'ai droit en me faisant éjecter du revenu d'insertion, je me dirige tout droit vers la misèrable situation à laquelle sont confrontés les gens sans travail, ni respect de la part des irresponsables gens de l'Etat. Tous ces fonctionnaires, vissés sur leur fonction vous disent que c'est la loi, et que rien ni personne ne peut la changer, puisqu'en tant que bénéficiaire du système, surtout rien ne doit être changé. Le comble, c'est que la loi, eux, n'en tiennent pas compte. Je l'ai déjà dit ici dans un précédent article, je me suis fait extorqué CHF 127.--, au même titre qu'actuellement, je me fais extorquer mensuellement CHF 313.-- sur les CHF 1'190.-- de revenu d'insertion, sous prétexte que j'ai une valeur hypothétique de revenu sur mon habitat en tant que valeur locative, et cette valeur locative, qui n'était pas gênante pour le service social de Bex, l'est pour l'Agence d'Assurances Sociales de Lausanne, et considère cette hypothétique entrée de revenu comme un revenu effectif, et me déduit donc cette valeur directement sur la déjà minimale indemnité. Ce qui n'était pas effectif pour un service, l'est pour un autre. Merci la Suisse et ses lois, gérées par personne puisque c'est L'Etat, ou plutôt par une clique de malfaisants opportunistes, indéboulonnables sadiques et coûteux fonctionnaires. Quand on voit ce que ça donne à l'Est, où la loi des primaires règne, cela nous ouvre un horizon radieux, irradieux...mais ceux-là on les écoute...quitte à les imiter...

En date du 26 novembre 2024, j'ai finalement pu récupérer la retenue de CHF 127.-- indûment opérée l'an dernier en juin sur mon indemnité ! Yes ! Comme quoi il ne faut jamais renoncer à faire valoir ses droits. C'est en effet grâce à la conscience professionnelle d'un employé du service de la cohésion sociale du canton. Cette personne redore le blason de l'Etat. Ouf, il était temps. Je l'ai remercié et le refais ici par ces mots. En plus, je ne sais pas si le revenu "minimum vital" évoqué dans une de mes correspondances a été un argument prépondérant, toujours est-il que j'ai conservé également mon droit intégral au revenu d'insertion, qui est dorénavant délivré en 2 parties au lieu d'un seul versement...