Assura, arnaqua (le 19 décembre 2024)
- Le 20/12/2024
Si vous avez l'affront de vouloir faire rectifier un décompte mal fait, oulala ! Déjà, il faut le faire par écrit, en passant par le parcours spécial du mail que vous obtiendrez après de mutioles tentatives infructueuses de contact par l'application robotique ou par les renvois de répondeurs pour causes de travaux et autres manques de personnel, et ensuite après 1 mois et demi, vous aurez un téléohone unilatéral, car il vous sera imposdible de rappeler la personne qui vous a appelé, pour vous signifier que d'après la loi, la rectification est impossible. C'est la loi. Haha, la loi interdit de réfléchir sans doute...
Cela fait des années que je prends du Ventolin pour des raisons physiologiques de naissance, l'asthme. La loi exige une ordonnance pour obtenir ce médicament. Le médecin prescrit la médiication pour une durée limitée, 1 an, comme si au bout d'un an, l'allergie allait disparaître ou empirer...Parfois même le médecin refuse de vous renouveler l'ordonnance sans vous consulter, jusqu'à ce que finalement, il revienne à la raison, et vous délivre l'ordonnance sans condition. Pour les pharmaciens, c'est aussi selon. Parfois vous tombez sur des gens doués de faculté de comprendre, parfois sur des gens axés sur le chiffre d'affaires. Et si pendant une période de plusieurs années vous avez la chance d'obtenir la médication par une personne serviable comme il se doit dans ce domaine, et que vous deviez changer de pharmacie, et que le pharmacien soit serviable que pour son chiffre et qu'il vous délivre la médication que par facturation d'une consultation "courte", bidon, l'assurance ne reconnaîtra pas la prise en compte du médicament. Non, tout à coup, vous n'êtes plus allergique, et votre pathologie n'est plus reconnue. Le pharmacien n'a pas le droit selon l'imbécilité de l'employé, de délivrer un médicament sans ordonnance, alors il passe par une facturation d'une ordonnance bidon, et il vend son méficament. Inutilement, puisque cette consultation bidon ne fait pas reconnaître l'assureur la prise en compte pour rembourser ce médicanent, alors que ce même assureur a reconnu la prise en compte pendant des années le même médicanent lorsqu'il était délivré normalement, sans ordonnance courte, par une personne serviable et sans ordonnance actualisée en date du tout. Un pharmacien a le droit de rendre service, de dépanner, surtout pour une fois, de réfléchir, mais tous n'ont pas cette faculté. Donc l'assureur rechigne à reconnaître ce que le pharmacien a facturé une fois ce qu'il a reconnu pendant des années. Par contre il ne rechigne pas à reconnaître les salaires mensuels se comptant en dizaines de milliers de francs de certains chefs de services médicaux...