Se(r)vice des autos et de la circulation ?!!! (le 8 décembre 2020)

  • Le 08/12/2020

Ce service d'Etat, qui brille par la mauvaise foi de ses lois et ses employés récalcitrants, n'a rien d'un service. En effet, jugez plutôt :

Je sais qu'on bénéficie de 3 expertises pour continuer à rouler avec son véhicule. 3 contrôles effectués par des professionnels. Si au premier contrôle il y a des défauts, on peut procéder aux réparations et revenir. C'est déjà là que le "service" des autos et de la circulation perd sa vocation. Non pas par ses contrôleurs techniques, mais par son administration. Sur un véhicule ancien, il est bien compréhensible que les garagistes nécessitent de plus de temps pour remédier aux problèmes (pièces introuvables, compétences perdues etc). Et comment réagit l'administration ? Il faut annuler le droit de rouler, car c'est elle qui décide quand le garagiste doit avoir effectué le nécessaire (hahahaha...Est-ce qu'ils savent au moins dire autre chose que "non" au guichet ?). Il y a là une aberration flagrante : c'est par un clic de souris qu'un employé de bureau dirige la destinée d'un véhicule, qui en 5 minutes maximum, vous signifie qu'il lui faut 3 jours pour faire annuler une expertise, et qu'à défaut de 3 jours d'avance pour faire déplacer une expertise, vous facture CHF 65.--, en plus de vous compter ce déplacement de visite comme une expertise manquée, alors que le véhicule est bloqué chez le garagiste...

Ce malfaisant a le pouvoir de vous faire payer des choses que vous ne faites pas, (ou ne faites pas faire à leurs techniciens qui contrôlent le véhicule), en plus du fait qu'il vous compte ce que vous ne faites pas comme étape supplémentaire pour faire annuler le droit de circuler ! Le clic de souris ou le "non" au guichet prend environ 5 minutes en comptant large, ce qui revient à un tarif horaire de CHF 780.-- !!!!!

Ce sont donc des règlements (qui lorsqu'on demande de les consulter sont invisibles) flous et interprétables de la plus vicieuse des manières que l'on doit subir par ces gens qui travaillent dans un service qui ne rend, une fois de plus, service qu'à ceux qui y sévissent. Personnellement, j'y vois plutôt un dictat de sadiques.