Non à l'Etat ! (le 28 mars 2019)

  • Le 28/03/2019

Depuis que nous sommes propriétaires, nous avons appris que d’embêter les gens, c’est non seulement ludique, mais également rentable. Le constructeur du chalet, qui était lui-même déjà passablement ennuyé par les gens du pays, s’est mis à se comporter comme eux. C’est-à-dire qu’il s’est mis à nous harceler nous, les nouveaux, ou les derniers arrivés. Du jour au lendemain, il décida de nous couper l’accès à notre habitation, car notre chemin passant sur sa parcelle, il ne voulait plus nous voir passer chez lui.

Dès le départ, on s’aperçoit qu’une vente d’un immeuble n’est pas faite correctement. Les service de l’État, qui devraient gérer les biens des registres fonciers mais qui ne font en fait rien d’autre que de taxer, se sont contentés de laisser les gens s’acheter et vendre des biens, sans que ceux-ci n’aient aucune garantie de respect de droit, d’utilisation normale. Je veux dire par-là qu’une personne A peut vendre un bien immobilier à une personne B, sans qu’aucune commodité d’accès ne soit prévue, ou que fourniture de bien nécessaire à la vie comme l’eau ne soit prévue non plus. Autrement dit, A peut vendre à B un immeuble sans que celui-ci puisse l’utiliser !

Si B réclame son droit d’utilisation, il lui en coûtera études, expertises, audiences et autres rendez-vous.

L’État daignera entendre le plaignant, moyennant finance. Sans pour autant lui reconnaître aucun droit. Car une revendication, si celle-ci n’a pas été précisée sur l’acte d’acquisition du bien, est sans valeur. Donc s’il n’a pas été précisé que l’habitation avait un droit de passage, ce droit n’existe pas, ou pour le faire valoir, il en coûtera une inscription au registre foncier. Même politique pour l’eau. Pour faire inscrire ce droit, on doit faire appel à une multitude d’intermédiaire tels que les avocats, notaires et autres syndics.

Ce qui paraît naturel d’avoir ne l’est pas aux yeux de l’État. Surtout si quelqu’un vous empêche l’utilisation. L’État aurait dû établir des normes d’utilisation, de jouissance de biens et autres civilités de bon sens. Mais il ne fera rien d’autre que de faire facturer des actes de justice dus à ses propres manquements à ceux qui pourront payer. L’État sert le fourbe parce qu’il est fourbe. Sert l’incompétent parce qu’il l’est. Le bon sens, qui n’a aucun code, ne vaut rien, et n’a aucune valeur juridique. Celui qui a du bon sens, qui est de bonne foi, sert juste à rétribuer les services qu’il paie déjà en impôts, mais qui visiblement ne suffisent pas.

Par contre si le plaignant est de mauvaise foi, et qu’il demande justice, il a toutes les chances de son côté. Entre gens malfaisants, on peut s’arranger. Preuve en est avec le cloporte d’à côté et ses foutus clebs...Il a dit n’importe quoi au flic, qui s’est empressé de le rapporter, et la justice réclame des frais, inflige une amende. Car les lois ne sont pas là pour faire justice, elles sont là pour rémunérer un système tellement inefficace qu’il est là comme les systèmes qui existent dans le social ou l’informatique, c’est-à-dire qu’ils sont entretenus et ne sont encore là uniquement par le fait qu’ils sont inopérants. C’est tellement plus rentable pour ceux qui les distillent.

L’État réussi même à vendre des droits sur des biens qui sont sensés déjà les contenir, et facture donc le droit de nous exprimer. Mais il ne s’arrête pas là. Il nous oblige de nous taire. Sur l’attaque physique d’un malfaisant, il est interdit de se défendre verbalement. Si on est dans un assistanat social, il est interdit de répondre aux questions d’une manière globale. On est obligé de s’imprégner d’une façon de penser qui leur est propre, sinon c’est considéré comme un refus de répondre aux questions. Si on demande de réviser une punition, on est sanctionné d’une punition supplémentaire. Est-ce normal ? Non c’est vaudois…Mon grand-père, qui était vaudois, disait déjà : « Tout ce qui n’est pas interdit, est obligatoire » ! Comme il avait raison !

Pour ce qui concerne mon affaire avec le malfaisant des clebs, j’ai envoyé une lettre à la procureure pour qu’elle annule son jugement suggéré par le rapport du flic, qu’elle se rende donc compte que je n’ai jamais insulté le garde-chien, et encore moins violé sa propriété privée, qui n’est d’ailleurs pas sa propriété. Comme toute réponse, j’ai reçu un recommandé. Connaissant la justice, j’ai retourné ce recommandé. Le fait d’avoir retourné ce recommandé, c’est considéré comme un retrait d’opposition !!!!!!!!! J’ai écrit noir sur blanc que je contestais en bloc cette ordonnance, et on me renvoie un courrier comme quoi je retire ma contestation ou mon opposition par le fait que je retourne un courrier.

Je reste sans voix. Une fois de plus couillonné. Leur lettre indique que je retire mon opposition et que l’amende est maintenue. Si je veux m’opposer à cette lettre, je peux le faire à une autre Chambre, celle du tribunal cantonal, et donc me voir menacé d’autres frais supplémentaires...pour avoir voulu nourrir des chats…je vais me voir donc nourrir des chiens galeux. Après on s’étonne pourquoi il existe des terroristes…

J’ai essayé de faire réfléchir de cette situation inconfortable mais si banalement soluble au Syndic d’Aigle, pour qu’il signifie aux sourds d’oreille de les ouvrir, leurs esgourdes, et de faire classer cette affaire. Evidemment, pas de réponse, ni téléphone aucun. Rien. J’ai expliqué à ce Syndic, ma situation comme sur cette lettre, avec les détails chronologiques qui expliquent la couardise et ma réaction logique à cette couardise. Rien. Le Syndic ignore, la procureure déroule son arsenal totalitaire, comme je les hais ! On laisse faire la mécanique bien huilée, on fait le beau à la tv, et assoiera encore plus s’il le fallait son inutilité, car Monsieur est spécialiste en communication…Pitoyable…!! Merci Msieu-dame, continuez donc dans cette voie, vous irez loin, et pourrez vous gargariser de votre incapacité. Comme disait Coluche, « si voter servait à quelque chose, il y a longtemps que ce serait interdit »

Vous me direz que je blasphème sans raison. Non, lisez ma lettre au Syndic/maire restée sans effet ! Vous pourrez apprécier le genre de personnes, dont est issu le maire, qui résident dans ce district.

J’ai refusé de subir le dictat du service soi-disant social, je refuse maintenant le racket de la soi-disant justice.