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même modus operandi (le 31 mars 2019)

  • Le 31/03/2019

Avec le recul, on s'aperçoit que les malfaisants ont le même procédé pour vous nuire. Lorsque j'étais employé encore il y a 17 ans, celle qui m'a fait mettre à la porte a construit sa tactique de la même manière que le cloporte. Elle s'est plainte auprès de la hiérarchie d'une joute verbale de ma part, après m'avoir traité plus bas que terre pendant un bon quart d'heure qu'a duré sa crise d'hystérie. Il fallait la gifler, je l'ai fait comme j'ai pu. Et elle s'est précipitée chez le chef, qui m'avait obligé de signer une lettre d'avertissement qu'il n'avait pas le droit de faire, mais ça on le sait qu'après. J'avais signé mon bon de sortie. Et au premier prétexte bidon, c'était la porte. Là c'est l'été passé que j'ai effectivement signifié au cloporte qu'il en était un, et comme il avait pris le soin de déjà dire au flic que j'avais exprimé ma mauvaise humeur à sa compagne lorsque j'appris la fonction du cloporte no 2 qui était comportementaliste et que personne n'était capable de mettre 2.-- de croquettes à la minette qui était dans cette grange en question, au coup de téléphone du début de cette année, le piège se ferma sur moi, puisque le flic a tout simplement pris parti du cloporte, sans prendre de gants, puisque il m'a harcelé au téléphone au point que je dus couper la ligne. Il exposa la plainte comme une accusation, m'envoya un mandat de comparution avec menaces de mandat d'amener comme si j'avais tué quelqu'un alors qu'il s'agit de mots de l'an passé. Pour moi les affaires datant de l'été passé étaient à oublier, surtout en montrant ma bonne volonté de faire table rase de ces mots en lui proposant ma poignée de main. Même topo pour celle qui a exigé des excuses lorsque je travaillais à la banque. Son but était de me nuire jusqu'à la porte de sortie, et elle osa même me gratifier d'un vocabulaire hors proportions, cherchant une nouvelle occasion de provoquer ma colère, afin de finir sa sale besogne. Pour le cloporte aussi, son pleurnichage consciencieusement rapporté n'attendait plus que d'autres ragots bidons. En cisaillant les feuilles des arbres avec son drône, son but était atteint. Je lui signifiai ma vive désapprobation, mais il oublie que le coup de pied perpétré dans mon vélo (et que le flic signala qu'il fallait porter plainte alors à ce moment-là), comme pour l'hystérique de la banque, c'est cela qui déclencha des mots, l'été dernier. Aucun autre mot n'a été prononcé depuis.

Comment peut-on m'accuser d'avoir prononcé quel que mot que ce soit et violé une propriété alors que ce bâtiment je ne l'ai visité qu'en sa présence ou avec l'accord de sa compagne ?

Donc ce que je voulais dire c'est qu'en harcelant les gens, c'est facile de dire que ceux-ci sont irritables. Moi quand on me fait mal, je dis d'arrêter à la personne qui le fait, avant d'aller pleurer à la police. Qui sont ces gens qu'on doit respecter et qui ne respectent pas les autres ?

 
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