après le dictat, le racket (le 26 février 2019)

  • Le 26/02/2019

Stéphane Arnoux
21 route de Leysin
1863 Le Sépey
Cergnat, le 26 février 2019
Madame Myriam Bourquin
Ministère public Est Vaudois
Case postale
Quai Maria Belgia 18
1800 Vevey
Concerne : PE19.003103-MYO
Madame Bourquin,
Nous avons affaire à des gens de mauvaise foi, qui ne se soucient que de leur bien-être, que ce soit au détriment des autres ou pas. M. Burgi, locataire d’un chalet à M. Mermod, fait le gardien de chiens, en plus des 3 qu’il a déjà. Son parc est situé en partie sur le domaine public DP1149, et sa clôture mentionnée d’interdiction d’accès est située en plein dedans. Paie-t-il quoi que ce soit pour la grange juste à côté ? Ça reste à prouver, puisque c’est M. Oguey qui y met son foin.
Le lieu est déjà saturé de chiens avec les huskies du fond de Cergnat, sans parler de celui de Gregory Hays, qui était là encore il y a peu, et avec qui j’ai eu également la désagréable impression qu’il était là pour nuire plutôt que de s’intégrer intelligemment à son environnement. Cette région est en effet le passage de chevreuils et est passablement peuplée d’autres mammifères tels que des renards, blaireaux et autres martres. Du temps de mon ancien voisin M. Beat Nyfeler, qui était dans l’ancien collège, il y eut aussi
passablement de chats, lesquels se sont bien intégrés, eux.
M. Burgi, qui a été le plus antipathique possible avec moi, a manifestement des alliés dans la commune, qui veulent également me nuire. En effet, j’ai pu constater avec quel mépris il me répondait quand je venais m’enquérir de quelque renseignement à propos de mes chats, lorsqu’un disparaissait. A chaque fois, sa réponse était qu’il avait des chiens et que ces 2 espèces étaient incompatibles.
Même son de cloche par son ancien voisin Gregory Hays. Quant à M. Oguey, qui utilise la grange Mermod jouxtant le chalet habitable pour y ranger son foin, lui, a le même hobby ; il a un drône et fait voler son engin sur mes arbres, quitte à les effeuiller.
MM. Oguey et Bürgi, adeptes de drônes et aussi sympathiques l’un que l’autre, se sont associés dans leurs méfaits, l’un en répandant son fumier sur ma parcelle, arrachant à l’occasion ma barrière, et l’autre en faisant survoler ma parcelle non seulement par son drône, mais en plus par un véritable hélicoptère. J’ai également subi un sabotage de l’alimentation de mon habitation, qui comme c’est bizarre, passe justement sur un terrain dont le propriétaire n’est autre que M. Oguey. Les coups de couteau perpétrés sur le tuyau ne sont pas des coups de dent, j’ai gardé les morceaux de tuyau si je devais en fournir la preuve. Car le tuyau, est à double matière, l’une élastique pour la flexibilité, et l’autre plus rigide, pour la solidité, et difficilement perçable par un rongeur.
Fatigué de voir ma parcelle enduite de fumier, j’avais fait constater la police locale des faits de M. Oguey, lequel n’a jamais digéré cette constatation, en plus du fait qu’il voulait me porter atteinte physiquement, ce qu’il a fait d’ailleurs, puisqu’il m’a griffé, ce criseux.
Il y avait là une vieille rancune et l’association des fourbes et des lâches est bien typique des gens du coin. M. Bürgi, qui m’a mis un coup de pied dans le vélo alors que je partais pour éviter tout contact, a rendu mon vélo inutilisable. Raison pour laquelle j’ai crié quelques mots appropriés. Pourquoi agir de la sorte alors que c’est lui qui se permettait de survoler ma parcelle et que je n’ai fait que venir demander de ne pas le faire ? Simplement parce que son but était de me voir moi pris en faute de quelque chose, car il avait déjà pris soin de contacter la police pour un prétexte de remontrance que j’avais exprimé à l’encontre des gens du coin de la propriété Mermod, en l’occurrence son amie et M. Gregory Hays, car j’ai appris en faisant moult recherches sur internet que M. Hays était comportementaliste animalier et qu’il s’était bien gardé de révéler son activité, alors que je venais de leur expliquer plusieurs fois mon souci de retrouver la mère des 4 chats que j’avais, puis successivement un premier chaton gris, et enfin un deuxième, roux, et que la réponse du comportementaliste était aussi négative qu’antipathique que celle de M. Bürgi, qui s’agaçaient de toujours me voir les questionner. Mais comment peut-on être comportementaliste et ignorer le fait qu’un chat vit dans la grange et même s’amuser de me voir m’apitoyer pour ces félins, et en plus de faire un espèce de trafic de ceux-ci, puisque les miens disparaissaient alors que d’autres apparaissaient, qui n’avaient jamais été là auparavant ?
Donc quand j’étais venu dire à M. Bürgi au début de l’année que j’avais du souci pour une nouvelle portée apparue en fin d’été, et qu’avec le premier coup de froid de décembre, 2 des 3 avaient déjà disparu, je voulais éviter l’hécatombe et les nourrir sur place pour ne pas qu’ils aient à se déplacer comme le fait déjà la chatte tigrée, et d’autres. Il a accepté ma poignée de main à contrecoeur mais l’a acceptée, même si son regard m’indiquait plutôt de quitter les lieux qu’autre chose. Je suis parti sans déposer la nourriture et revins le lendemain, car je me doutais bien que rien ne serait fait, puisque jamais rien n’avait été fait pour ces chats.Cette grange ne faisait selon eux pas partie de leur habitat !
Lorsque j’ai fait le tour de la grange pour chercher ce petit rescapé vu la veille, je ne vis aucune trace d’écuelle et me dis que j’ai bien fait de revenir. Mais M. Bürgi m’expulsa immédiatement, ce que je refusai et demandai aussitôt l’accord de son amie, qui me le donna, et je déposai donc la nourriture. A aucun moment je n’ai insulté M. Bürgi.
J’ai par contre pu constater sa couardise, car il appela immédiatement la police. Son but était atteint. La police avait déjà pu le voir pleurnicher pour un prétexte bidon, il ne leur fallait plus qu’un autre pour m’inculper des faits qui me sont reprochés. Même méthode que dans le milieu professionnel, on construit patiemment un piège, et on ferre au moment opportun. Mais je réfute les faits qui me sont reprochés et suggère de faire appel à votre compréhension d’une personne qui ne voulait rien d’autre que porter secours à desêtres ignorés, donc maltraités. La police locale m’assura qu’elle entendrait la compagne de M. Bürgi, j’ai des doutes qu’elle l’eût fait.
Particulièrement partial d’établir une ordonnance pénale, sur les mensonges d’une partie sans avoir pris le soin d’écouter l’autre ou lu un rapport qui prend parti du plaignant. Je vois là une faute professionnelle de la justice policière ou de votre part. Je répète que je n’ai à aucun moment injurié M. Bürgi après la poignée de main.
Je ne vois vraiment pas comment on peut me charger d’une peine pareille, je vous garantis que je ne vais pas en rester là si la peine devait se confirmer. Cette justice pour les fourbes et les malhonnêtes, il y en a marre.
Sachez également que si je devais énumérer tous ceux qui sont impliqués dans les malveillances, que ce soit au niveau communal ou pas, je le ferai. Car les ignorances lâches peuvent parfois coûter cher, ne serait-ce déjà par l’état d’insalubrité dans lequel est la grange Mermod, l’ancien collège qui ne demande qu’à sécrouler, les délinquants qu’on laisse se substituer à la police, ou survoler un chalet...
Ponctionner les gens de charges abusives, c’est tellement facile quand on fait la loi et qu’on l’applique contre ceux qui la paient, il n’y a qu’à se servir...Cette fois, votre amende, je ne la paierai pas. J’ai cédé pour un antipol injustifié, je ne céderai pas pour celle-ci.
A la relecture de votre ordonnance, je m’aperçois que les faits relatés sont totalement fantaisistes. Soit vous avez mal lu le rapport de l’appointé Dupraz, soit le rapport qu’il m’a fait signer n’est pas celui que vous avez lu. Les faits sont sont déroulés comme indiqué sur cette explication de la situation ci-dessus.
Après le service administratif qui me somme de payer des cotisations AVS injustifiées, et qui finalement me renvoie des paperasses sans aucune explication ni excuse pour l’erreur, je ne peux que déplorer l’incompétence des gens qui sont censés être de confiance.
Je voulais dire « amen » et minimiser, désolé, je ne peux pas. J’ai essayé de raisonner M. Bürgi, il a refusé d’écouter et s’est plaint. Je le plains, comme je plains tous les pleutres, les lâches, les fourbes que constituent bon nombre d’entre ceux qui font ce qu’est notre monde.
Stéphane Arnoux